Panneau_07

 
Il ne devrait tout simplement plus y avoir de victimes de la faim. Plus leur souffrance est grande, plus grand est notre échec moral à assumer la responsabilité, qui est celle de chacun d’entre nous, de garantir le bien-être de tout. C’est à cette volonté, partagée par un peuple, d’être solidaire de ceux  qui traversent une période de difficultés, que l’on reconnaît une nation civilisée.
 
J. Clayburn LaForce, président du groupe de travail de la présidence américaine sur l’aide alimentaire